Elle s’appelait Mariana Grajales Cuello, mais Cuba la connaît comme la Mère de la Patrie, car elle symbolise le plus grand amour et le plus grand sacrifice, le dévouement sublime qui amena José Martí à se demander : « qu'y avait-il dans cette femme, quelle épopée et quel mystère y avait-il dans cette humble femme, quelle sainteté et quelle onction y eut-il dans son sein de mère ? »
Une couronne de fleurs a été déposée au nom du général d'armée Raul Castro Ruz, Premier secrétaire du Comité central du Parti, pour rendre hommage à sa vie exemplaire et glorieuse, qui symbolise l'esprit élevé de la femme et de la mère cubaine
La jeune Secrétaire générale de la Centrale des travailleurs de Cuba de Santiago de Cuba, Annie Palacios Tresord, a été chargée de l'hommage chaleureux, qui fut précédé par le dépôt d'une couronne de fleur au nom du peuple cubain.
C'est elle, comme l'a avoué José Marti, la femme qui a le plus touché son cœur. Plus tard, il l’appela « lionne » avec admiration et lorsqu’elle mourut à Kingston, en Jamaïque, en 1893, il déclara avec respect : « Patrie, sur la couronne que tu laisses sur la tombe de Mariana Maceo, écris un mot : Mère !
LE PRÉSIDENT DIAZ-CANEL FÉLICITE LES MÈRES CUBAINES
« À toutes celles qui ont laissé leurs êtres chers à la maison pour prendre soin de compatriotes inconnus, cuisiner, nettoyer, servir et aider bénévolement, j’adresse mes remerciements, au nom de la direction de notre Parti et de notre gouvernement, pour votre dévouement exemplaire à la grande bataille de ces temps » ; peut-on lire dans le message de félicitations du président cubain Miguel Diaz-Canel.
« Je vous félicite aujourd'hui et pour toujours pour votre capacité à nous donner la vie et à l'embellir constamment, avec passion et tendresse », et il a ajouté : « Comme le disait Fidel, la femme est une Révolution dans la Révolution et quand on dit femme, on dit toujours mère. »
« Vous êtes la force qui nous a amenés ici, qui nous soutient et nous inspire. Vive les mères cubaines, la fierté d'un pays marqué par des femmes comme Mariana, mère de la Patrie, et toutes celles qui depuis lors nous ont poussés à grandir et à nous battre pour elle », a déclaré le président de la République dans son message.
Il a également expliqué les raisons pour lesquelles elles ne seraient pas avec leurs enfants, petits-enfants, voisins ou amis. « Pour pouvoir vous embrasser et vous embrasser toujours, nous devons renoncer à le faire en ce jour et pendant tous ceux que nous reste jusqu'à la fin de la pandémie mondiale de COVID-19. », a-t-il écrit.
« Se priver de la rencontre et de la fête traditionnelle cette année, est le meilleur cadeau que l'on puisse faire au membre le plus aimé et le plus vénéré de la famille. Celle qui, en ce moment, est majoritaire parmi les professionnels de la Santé et de la Science qui prennent soin des malades et cherchent un remède définitif à un mal qui est venu chargé de menaces et de défis pour tous », leur a-t-il dit.
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