À l’occasion de la célébration de la Journée de la presse, le Syndicat national des travailleurs de la culture de Cuba a souligné le travail du syndicat qui défend l’objectivité et l’impartialité comme prémisses.

Le journal Patria, créé à New York le 14 mars 1892 par le héros national de Cuba José Martí, proposait l’engagement inaliénable du journalisme cubain avec la vérité et l’éthique journalistique ; deux paradigmes de la presse écrite, la radio et la télévision aujourd’hui, exprime un communiqué publié par la secrétaire générale, Katia Rodríguez Ramos.

De même, elle a félicité les membres du secteur “qui travaillent dans différentes agences et institutions de l’État, ainsi que des photographes, des relecteurs, des éditeurs, des concepteurs, des annonceurs, des caméramans et tous les membres de l’Union des journalistes de Cuba, qui font également partie de cette armée inspirée par le travail et l’exemple de Martí et du leader historique de la Révolution cubaine Fidel Castro.

Selon le journal Cubarte, le communiqué souligne les efforts de la presse cubaine, “surtout en ces temps difficiles du fléau du Covid-19, un virus redoutable sur lequel les reporters se sont documentés pour informer la population et sensibiliser autour d’un danger réel”. , sans panique ni confusion.

En évoquant la création de Patria, le texte qualifie « cet événement du journalisme insulaire jusqu’alors sans précédent, qui n’était pas seulement un fait historique capital, mais aussi un emblème de la presse révolutionnaire, dans la lutte pour la souveraineté, l’indépendance et la unité de notre peuple.

Source : PL- RHC